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dimanche 27 juillet 2025

Ce que j’aurais aimé savoir avant d’avoir un enfant

 Parfait ! Voici une version revue de l’article, dans un ton façon Cosmo, sur le thème :





Ce que j’aurais aimé savoir avant d’avoir un enfant



(Spoiler : ce n’est pas “profiter de ton sommeil tant que tu peux”)




Avant d’avoir un enfant, on m’a dit :


“Tu verras, c’est que du bonheur.”

“Profite de tes grasses mat’.”

“Tu vas découvrir l’amour inconditionnel.”


Alors oui. C’est vrai. Mais c’est incomplet.

Parce qu’il y a des choses que j’aurais vraiment aimé savoir avant de devenir mère. Des trucs qu’on te dit pas dans les livres, ni dans les vidéos de parentalité bienveillante à la lumière tamisée.


Voici donc, sans filtre ni poudre de perlimpinpin, ce que j’aurais voulu savoir avant de faire un enfant.





🧠 1. Tu ne vas pas accoucher d’un bébé.



Tu vas accoucher d’une nouvelle version de toi-même.


Et pas forcément la plus zen, ni la plus glamour. Tu vas découvrir une version de toi qui pleure en lisant une étiquette de body, qui doute de tout, qui s’énerve pour une histoire de chaussettes perdues, qui mange du chocolat à 3h du matin en googlant “tétée de croissance ou grève du sein ?”.


Tu vas aussi découvrir une version plus forte que jamais. Mais ça, tu le verras après. Pas tout de suite. Pas entre deux vomis et trois lessives.






😵‍💫 2. L’amour ne suffit pas toujours.



Et c’est pas grave.


Tu peux aimer ton enfant plus que tout… et avoir envie de partir très loin quand il hurle depuis 45 minutes parce que son verre n’est pas le bon bleu. Tu peux vouloir bien faire, et te planter. Tu peux l’aimer à en pleurer, et pleurer parce que tu n’en peux plus.


C’est normal. Tu n’es pas un robot de tendresse. Tu es un être humain qui fait de son mieux avec zéro temps, zéro notice, et des nuits en miettes.





⏳ 3. Tout est une phase.



Mais certaines phases sont longues. Vraiment.


Il dormira un jour. Il mangera autre chose que du pain. Il te dira “je t’aime” sans te coller une baffe dans la figure. Mais entre maintenant et ce jour-là, il y aura des moments où tu penseras :


“C’est moi ou on est dans un escape game sans sortie ?”


Spoiler : tu vas t’en sortir. Avec des cernes, mais aussi avec des souvenirs à hurler de rire plus tard.





💬 4. Tout le monde aura un avis sur ce que tu fais.



Même ton chat.


Ta belle-mère, ton voisin, la boulangère et le mec sur Facebook qui a lu un article en 2014 te diront comment tu dois élever ton enfant. Et tu culpabiliseras, forcément. Mais à la fin, le seul avis qui compte, c’est celui de ton enfant qui se sent aimé, entendu, respecté. Et le tien, un peu aussi.





🧘‍♀️ 5. Tu n’as pas à tout faire parfaitement.



Et si tu essayes, tu vas craquer.


Tu n’as pas à être disponible H24, à faire des activités Montessori chaque mercredi, à crier dans un coussin au lieu de dire “MERDE” parce qu’il a renversé son yaourt pour la quatrième fois.

Tu as juste à être là. Vraiment là.

Même fatiguée, même bordélique, même paumée.





❤️ Ce que j’aurais aimé savoir ?



Qu’il n’y a pas de “bonne” façon d’être parent.

Qu’il y a juste la tienne, ta boussole, ton lien.

Et qu’à la fin, malgré tout… c’est fou comme c’est beau.

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